mardi 6 septembre 2011

Retour vers le passé … la motrice des 50K

"J'avais démontré la nécessité du métro.
La décision appartenait à Vinci, farouche partisan des autobus" G.P.

Une rencontre avec ses producteurs 
Elle fonctionne bien la nouvelle motrice de Lena Luce, elle entraine les wagons vers de nouvelles stations du métro, et progresse à belle vitesse, le jour du pique-nique la jauge affiche 62k. Elle est colorée.
Pour ceux qui découvrent Lena Luce, le pique nique des 50K, c’est le joli Merci qu’adresse Lena Luce à ses producteurs (Internautes contributeurs) après nous avoir offert  aux étapes précédentes des merci en sourire et en chansons.

Le parcours de cette artiste sur MMC est impressionnant, et en ce 3 septembre 2011, il est évident que Paris est devenue sa ville, la place Beaubourg son quartier, et le clown triste (un personnage de sa chanson Rambuteau) avec son nez rouge et portant le chapeau bleu à fleur rose nous accueille.
C’est elle, c’est Lena Luce, elle installe sa table à l’ombre de l’église, une nappe verte, une nappe rouge; les couleurs sont vives comme la joie d'être là,  il y a comme un air, un un air de fête, je crois bien qu’ils sont tous là, il y a des tas de prods présents.
 
Les échanges des mots, d’émotions sont au rendez vous, chacun, chacune reçoit cette belle énergie, et les salades, gateaux, fruits sont en partage. Les paroles sont toutes tournées autour des chansons de Lena. Les producteurs font connaissances, l'humeur est joyeuse. Ce sont aussi des jolies rencontres.
 
Un mini concert
Offrir et aimer c’est le thème du jour, les 50K sont déjà un lointain souvenir, c'était le 8 juillet 2011, le passé plus proche c’est l’atteinte des 500 producteurs le 31 juillet 2011, le nez bleu du label bleu, mais peu importe ce décalage temporel, Lena Luce est là à nous offrir son talent, son énorme envie de nous apporter du bonheur, de nous montrer le résultat de son travail. Avec Siegfried à la guitare, et Fred Choukairi au cajon, un vrai petit concert privé est réalisé :

Métropolitaine, Rambuteau, Ségur, Madeleine (Montage Video en préparation) Rambuteau sera doublé pour permettre aux producteurs de chanter avec Léna.
Siegfried  assure un entr’acte avec une chanson de Brittney Spears :  Baby one more time, version très personnelle que j’adore. Nous l’applaudissons bien fort. Siegfried mérite aussi largement nos  bravos pour être l’auteur de Stalingrad,  c’est ma  chanson préférée de Lena Luce.  J’aime le décalage des paroles, de la ritournelle qui tourne comme une obsession, ce froid et ce chaud, le léger et le grave. Bravo à eux d’avoir créer un des bijoux de MMC.  Siegfried est aussi associé à Ségur.
Deux titres inédits
Lena Luce et Siegfried nous offrent alors deux chansons inédites, encore en pleine préparation, un joli privilège, ces chansons méritent d’être encensées, bien qu’encore en travail. Lena c’est aussi cette force et cette volonté de définir, de construire ce qui se marie si bien à sa voix, à son univers, des touches de couleurs supplémentaires pour le tableau « Métropolitaine » .
4 septembre, une mélancolie touchante ressort des paroles :  "c’était quand, c’était quand, un 4 septembre, un beau jour de mai, était-ce en décembre ?  Où vous ne vous êtes plus aimé ?"
Et Corvisart, ce morceau révèle dès cette première écoute de superbes bribes, un équilibre parfait ? : "aux arts dans le métro, impolis libertins, qui nous changent du train train quotidien,  aux armes maestro, ton vacarme n’est pas trop allegro ma non troppo".  
Quel plaisir, mais surtout ces chansons vont faire pâlir la playlist de Lena Luce : deux redoutables morceaux, Corvisart m’ayant plus touché encore. Talent et travail, un couple efficace ou l’étendu de l’avenir de Léna parait sans limite. Attendons les versions définitives, mais aucune inquiétude dans cette attente. 
Une totomobile
Et pour sourire, Lena nous révèle que la motrice de son métro adore la totomobile :  "Ah tutut pouet pouet la voilà, la totomobile. Ah tutut pouet pouet la voilà, qu’est-ce qu’elle fait donc là ?" Nous aussi nous adorons la Lena Totomobile.
Elle offrira à ses producteurs ses yeux mouillés par quelques larmes de belles émotions reçues : une version personnalisée « tchou tchou tchou » de Métropolitaine, avec tout le cœur des producteurs – et si certains se demandent pourquoi ils sont producteurs et pas chanteurs je crois qu’une partie de la réponse est dans cette interprétation.



Elle est sensible Lena. Nous le savions déjà, une artiste qui est capable de se dévoiler autant et de nous ouvrir son monde, avec une voix si limpide, identifiable, force et retenue mélangée, glissant la ritournelle sur des mélodies évidentes, tellement naturelle que nous savons déjà que le parcours du métropolitain sera bientôt trop petit pour son talent.

Sur la place Beaubourg avant une séance de dédicace, nous réentendrons doucement Métropolitaine et Segur. C'est aussi sur cette place que tous les prods voient leur nez se colorer du rouge du clown de Rambuteau.  Léna Luce emporte son public dans cette belle humeur de la place. Bravo à elle. Une belle rencontre vraiment pour ce Rambuteau. Elle aura veillé brillament à l'organisation : colorer les nez de rouge, mettre en place la scène, contrôler la vidéo, etc.

Cette journée n’est pas finie. Une seconde partie se déroule à la taverne de cluny, où Thomas Parth nous reçoit. 
Fin de la première partie (une compilation en video ici)….
Les vidéos associées à Rambuteau, Métropolitaine, Madeleine sont celles de misslilie.

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Musique : player Alexandra Tan

Musique : player Lena Luce